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Bonsoir, jai un peu hésité avant décrire ce message, mais depuis les années que je fréquente ce forum, jai fini par tisser des liens solides avec certains dentre vous, même si nous ne nous voyons pas souvent. Dautre part, il y a bien un fuseau pour les anniversaires et un pour les naissances alors pourquoi pas un pour des évènements plus douloureux
Je vous fais donc part que mon père après une longue agonie a reçu hier le Don dIluvatar. Même si jai chevillé au cur lEspérance que « nous ne sommes pas liés par les cercles du monde et que dans lau delà il y a plus que le simple souvenir » je peux partager que, comme le dit Arwen, « ce Don est bien amer à recevoir ».
Alors sil vous plait, si ceux dentre vous qui partagent une Espérance (quelle quelle soit) pouvaient avoir ce soir une petite pensée pour mon père, ma peine serait moins cruelle.
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Sincères condoléances, Jean.
Requiescat in Pace...
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Jean,
Même si je n'ai pas la chance de te connaître je partage ta peine, pour l'avoir moi-même connue il y a quelque années. Je partage aussi cette Espérance.
Sincères condoléances.
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D'autant plus amer s'il suit une souffrance, longue.
Jean, je n'ai pas ton Espérance, mais je suis avec toi ; un peu comme tu es avec lui, ton père.
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J'ai une Espérance, différente de la tienne, mais qui la rejoint probablement quelque part, et je ne peux m'empêcher de citer :
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Simplement, je pense à ce monsieur qui est parti, je suis triste pour lui, et je suis triste avec toi.
Sincères condoléances.
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Je partage ta peine, mon cher Jean.
J'ai perdu mon père il y a quelques années après une longue maladie, aussi je comprends ce que tu ressens.
Je suis un homme sans foi, mais dans de tels moments, si je ne dis pas de prières, je repense aux moments heureux du passé et aux moments plus difficiles aussi, à tous ces instants qui marquent la vie d'un homme et qui au final, se conservent dans l'esprit de ceux qui restent.
Sincères codoléances.
I.
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Je ne te connais pas, je ne sais donc pas si ce message t'aidera, j'ose caresser l'espoir qu'il le fera.
Ce que je sais, ou plutôt ne sais pas, c'est que jamais je ne saurais dire si le Don d'Iluvatar n'est pas préférable au handicap qui diminue et rend totalement dépendant des autres ou à la souffrance.
La mort permet au moins une chose, c'est de permettre aux autres de continuer à vivre en appréciant pleinement les moments avenirs avec ceux qu'on aime et qui sont encore là, tout en gardant le souvenir joyeux des moments heureux passés et avec l'espoir que l'âme vive dans un autre monde de bonheur.
Sans le malheur, le bonheur n'aurait que peu de valeur. Sans la mort, profiterions nous de la vie à sa juste valeur ?
Je te souhaite du courage pour traverser cette épreuve qui fait partie de la vie et espère que ce sujet t'aidera à alléger ta peine.
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Mon très cher Jean,
J'ai beau partager ton Espérance, je sais que dans certaines circonstances elle est bien petite par rapport à la dureté et à l'inéluctabilité des faits. Et je me sens bien démunie face au "don d'Iluvatar". Alors, prends en compte ces paroles sincères : "Courage, je pense à toi, en union de prières".
Avec toutes mes amitiés.
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Meme si je doute parfois, je partage aussi cette Esperance.
Toutes mes condoleances et bon courage en cette periode difficile.
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Chèr Jean,
j'ai moi aussi perdu mon papa et j'ai, depuis, réexpérimenté la douleur de perdre quelqu'un de chèr. Je suis moi aussi de tout mon coeur avec toi en pensée dans cette période très difficile de ta vie car perdre un de ses parents c'est laisser une partie de soi-même et de son enfance s'en aller, c'est une page qui se tourne. Mon Espoir est le suivant: la mort n'est pas une fin, c'est une porte qui s'ouvre vers une autre vie, vers un nouveau commencement. Et dans le fond de mon coeur, je supporte la douleur que les gens que j'aime m'aient quittée et me quitteront tous et toute un jour car je nourris l'Espoir fou que je les reverrai tous un jour ou l'autre ailleurs....
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(de Saint Augustin, quand il a perdu sa maman)
Ne pleure pas si tu maimes !
Si tu savais le don de Dieu et ce cest que le Ciel !
Si tu pouvais dici, entendre le chant des Bienheureux,
et me voir au milieu deux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche !
Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté
devant laquelle toutes les beautés pâlissent !
Quoi
? tu mas vu
tu mas aimé dans le pays des ombres
et tu ne pourrais ni me revoir, ni maimer
dans le pays des immuables réalités ?
Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui menchaînaient,
et quand, un jour que Dieu seul connaît et quil a fixé
ton âme viendra dans le Ciel ou la précédée la mienne
Ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée.
A Dieu ne plaise quentrant dans une vie plus heureuse,
je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies
de mon autre vie et sois devenu moins aimant !
Tu me reverras donc, transfiguré dans lextase et le bonheur,
non plus attendant la mort,
mais avançant, dinstant en instant,
avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie !
Alors essuie tes larmes et ne pleure plus si tu maimes !
et puis aussi cet autre texte:
de Canon I. Scott-Iolland
Lamour ne disparaît jamais.
La mort nest rien !
Je suis seulement passé dans la pièce dà côté.
Je suis moi, tu es toi ; ce que nous étions lun pour lautre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu mas toujours donné, parle-moi comme tu las toujours fait, nemploie pas un ton différent, ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Souris, pense à moi, prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il la toujours été, sans emphase daucune sorte, sans une trace dombre.
La vie signifie ce quelle a toujours signifié, elle est ce quelle a toujours été : le fil nest pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée simplement parce que je suis hors de ta vie ?
Je tattends
Je ne suis pas loin, juste de lautre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien.
Je ne te connais pas, Jean, mais je suis touchée par ta peine. Garde courage! Comme lambertine, je reste avec toi en union de prière.
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J'espère que ces quelques mots pourront soulager un peu ta peine mon cher Jean. Sincères condoléances.
Gilles
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Toute ma sympathie, et mon affection, Jean.
"Quand le malheur frappe à ta porte, ouvre-lui tout grand". Accepter le chagrin, c'est une façon de vivre pleinement et complètement. C'est de vivre qui compte, mourir vient à son heure. Garde le souvenir des heureux moments passés avec ton père. Ce que les pères souhaitent pour leur fils, c'est une vie pleine et grande ouverte.
Je t'embrasse.
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Cher Jean,
Toutes mes condoléances, j'éspère que ces messages d'amitié feront que tu te sentes moins seul.
Je partage avec toi une Espérance, quelle qu'elle soit, et j'éspère qu'elle t'aidera à continuer à vivre, avec tes souvenirs les plus précieux de cet être cher. Je ne peux que souhaiter que vous vous retrouviez (et que nous retrouvions tous ceux que nous avons aimés) un jour dans un monde meilleur.
J'ai lu un jour cette phrase, je ne sais plus où, mais ayant moi-même perdu des personnes chères à mon coeur, je voudrais la partager avec toi:
Tant que tu te souviendras de ton père, il vivra en toi. La véritable mort n'arrive qu'avec l'oubli.
Toutes mes pensées t'accompagnent.
Elbaratha
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Courage, Jean !
Et veuille accepter les condoléances sincères d'un mécréant...
"Si toute vie va inévitablement vers sa fin, nous devons durant la nôtre, la colorier avec nos couleurs d'amour et d'espoir". (Marc Chagall)
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Merci beaucoup pour tous vos messages de sympathie qui mont beaucoup ému, ceux qui sont ci-dessus comme ceux que jai reçu dans ma Bal personnelle. Jaimerais pouvoir vous répondre à chacun individuellement mais je ne sais pas si jen aurai le temps et/ou le courage. Alors, en attendant mieux je vous adresse du fond du cur un Merci collectif.
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ce Merci nous suffira
Pour l'heure, pense à tes proches et fais ce que tu as à faire.
Eric
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Bonjour à tous, je remonte ce fuseau vieux de 12 ans pour vous partager qu'hier ma mère a, à son tour, reçu le Don d'Iluvatar, que les orthodoxes appellent aussi 'la naissance au paradis'. Alors, ceux d'entre vous qui le voudrez bien, ayez une petite pensée pour elle. Ce me serait un réconfort
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Cher Jean,
mon cœur est serré d'émotion à te lire.
Sois assuré de notre soutien et de nos meilleures pensées,
ce jour et les prochains
& reçois, pour ta mère,
la « coupe de consolation » (Jr 16,7)
non seulement de la part de tes amis, que nous sommes,
mais aussi de la part de celui-là même qui « entend la voix de tes larmes » (Ps 6,6).
S.
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Cher Jean,
Je te présente toute mes condoléances en ce moment qui doit être particulièrement douloureux pour toi.
Fanuilos, le linnathon, nef aear, sí nef aearon !
E.
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Mon cher Jean,
Avec tristesse je réponds à ton appel.
Songeant au fait que je regrettais de n'avoir pas réussi à te rencontrer depuis bien des années (quand bien même nous sommes-nous croisés à Paimpol), nos échanges m'ont permis de saisir de bien belles choses. Sans le moindre doute, me faisais-je la réflexion, ta mère, ton père, n'y sont-ils pas étrangers.
Ce matin, alors que ma fenêtre est ouverte et que j'entends les oiseaux au-dehors, j'ouvre la Parole :
Est-ce que l'on ne vend pas cinq moineaux pour deux sous ?
Or pas un seul n'est oublié au regard de Dieu.
À plus forte raison les cheveux de votre tête sont tous comptés.
Soyez sans crainte : vous valez plus qu'une multitude de moineaux.
Luc 12,6-7
Puisse le cœur de la Parole aller au cœur de ton âme et te fortifier en ce jour.
Jérôme
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Venant de lire ton dernier message, Jean, j'ai bien sûr une pensée pour ta mère, en songeant à la profonde tristesse qui doit être la tienne, et te fais part de mes sincères condoléances.
« Je ne dirai pas : ne pleurez point ; car toutes les larmes ne sont pas un mal. »
Mais surtout, Jean, réjouis-toi de l'avoir connue.
Requiescat in Pace...
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Cher ami,
Je partage ta peine, qui est une dure épreuve de la vie, comme elle en est parsemée. Puisses-tu trouver de l'affection et du réconfort auprès des tiens, de ceux que tu aimes, alors que ta mère s'en est allée vers des contrées où règne la plus belle des quiétudes.
« [...] ils virent un pays splendide, recouvert d’une herbe blanche comme du tissu à la douce senteur, ainsi que de grandes fleurs ; un ruisseau de miel se répandait dans tout le pays. Ce pays était grand et plat. La lumière du soleil était toujours là, si bien qu’il ne faisait jamais sombre, et qu’il n’y avait jamais d’ombre. Le ciel était calme, mais avec une légère brise au sol, leur permettant de sentir plus encore qu’avant le doux parfum. [...] Alors Eiríkr dit : « Regarde, ceci est le Ódainsakr (prairie-des-non-morts) que nous avons cherché avec tant de peine et par tant de routes. » Eiríks saga víðförla (L'Histoire d'Eiríkr le grand voyageur), chapitre 4.
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Bonjour Jean,
avec un peu de retard, je te prie de recevoir mes plus sincères condoléances.
Puisse le souvenir de tes parents perdurer longtemps dans ton cœur et ta mémoire.
Amicalement
I.
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merci pour tous ces messages de sympathie
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