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Bonjour !
Voici bien longtemps que je ne suis plus intervenu dans ces lieux, mais j'ai besoin de l'aide de spécialistes : je n'arrive pas à retrouver une citation qui est profondément enfouie en moi sans que j'arrive à la formuler de façons suffisamment précise pour la retrouver sur un moteur de recherche.
Je ne sais plus si elle vient des Lettres ou d'un autre texte, mais il s'agissait d'une discussion se terminant sur le fait qu'au dernier sommet qu'on atteint, alors on y distingue toujours une autre montagne, ou une autre île, qui brille dans le lointain, et on n'en finit jamais dans l'exploration, ou la description de l'oeuvre, je ne sais plus...
Cela parle-t-il à quelqu'un ?
Merci !
Aglarond
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Trouvé ! Lettre 247.
Part of the attraction of the L. R. is, I think, due to the glimpses of a large history in the background: an attraction like that of viewing far off an unvisited island, or seeing the towers of a distant city gleaming in a sunlit mist. To go there is to destroy the magic, unless new unattainable vistas are again revealed.
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Merci Jérôme !
Oui, je n'ai jamais fait partie des meubles, mais c'est véritablement ici une maison, on peut le dire ! Je venais quand même parfois, sans faire de bruit, voir ce qui se disait, mais contribuer intelligemment demande des temps de calme et de repos intellectuel qui se font si rare dans une vie trépidante avec trois jeunes enfants qui virevoltent de partout ! J'avais caressé le projet d'une rapide critique à froid des deux premières saisons de la dernière adaptation, tachant de séparer les quelques bons grains de l'ivraie, mais je ne m'y suis pas encore mis, et mes idées sur le sujet commencent à s'estomper...
Quant à ta suggestion, ah !, c'est l'un de ces si rares moments où je me dis que vivre à Paris aurait ses avantages, car un tel colloque aux Bernardins avait certainement de quoi me mettre l'eau à la bouche !
J'ai voulu jeter un oeil sur ton texte et ton diaporama, mais ce soir les liens de ton message n'affichent que des pages blanches...
En tout cas, soyez certains que recompulser tous ces livres (Lettres bien sûr, Faërie et Du conte de fées, mais aussi quelques ouvrages savants d'il y a une vingtaine d'années que je cite ci-dessous pour faire plaisir à quelques-uns ici), m'a rappelé de délicieux souvenirs de mes premières aventures et tentatives intellectuelles...
Allez, trois titres extirpés de ma bibliothèque :
- tolkien, trente ans après [1973-2003 (sans majuscule !) sous la direction de... vous savez qui, aux éditions de vous savez qui également
- Tolkien, Faërie et Christianisme, de S. Caldecott, D. Rance et G. Solari, éd. Ad Solem
- Tolkien, les racines du légendaire - La Feuille de la Compagnie, n°2, éd. Ad Solem
Et je me rends compte, 20 ans après, à quel point la conception tolkienienne de la vérité des mythes s'est ancrée en moi !
Amicalement,
A. (ou F., je suis démasqué)
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Et je me rends compte, 20 ans après, à quel point la conception tolkienienne de la vérité des mythes s'est ancrée en moi !
À qui le dis-tu ! :)
Au colloque, beaucoup ont témoigné (chrétiens ou non) à quel point Tolkien les avaient profondément changés.
dans une vie trépidante avec trois jeunes enfants qui virevoltent de partout !
À qui le dis-tu aussi ;)
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En tout cas j'ai finalement pu lire ton texte, reflet de talents que je connaissais, et admirer le diaporama et ses illustrations, talent que je ne connaissais pas !
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Merci :)
En rappelant que le Tom Bombadil est de Sosryko : sa présence au milieu donc au cœur du diaporama est signifiante aussi en cela ;).
Pour la dimension artistique, elle fut au tout début chez moi, mais il y a (très) longtemps : quelques aperçus ici.
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