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Sinon, j'ai le plaisir de pouvoir vous annoncer que dans un mois, le 17 octobre, notre nouvel ouvrage paraîtra aux éditions Hors Collection : L'Encyclopédie de la Terre du Milieu : Númenor et le Deuxième Âge, co-écrit par Druss, Isengar, Zelphalya, Calarwen, Foradan et moi-même, et illustré par Sandrine Gestin, Amandine Labarre et David Greset.
Une très belle nouvelle, bravo !
La liste des auteurs et le sommaire annoncé fait envie, hâte de voir cela dans les rayons de ma bibliothèque !
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Oui, félicitations à toi Elendil, merci à toi pour tout le travail que cela représente ainsi qu'à toute la fine fleur des érudits qui ont contribué à ce nouvel ouvrage.
Bravo à vous pour cette nouvelle réalisation !
S.
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Les Collected Poems sont sortis. Quelqu'un a-t-il craqué et peut nous dire la beauté de la chose (forme/fonds) ?
C.
Reçu hier soir. Très beau coffret, au même format que les éditions "deluxe" habituelles. Pour une fois, les trois volumes glissent aisément dans l'emboîtage. Les commentaires de Hammond et Scull sont très intéressants sans être omniprésents. Les longs poèmes narratifs déjà publiés ne sont cités qu'en partie, ce qui est assez logique. En revanche, c'est une vraie mine de variantes, de brouillons et autres versions inédites. Il y a aussi un nombre assez conséquents de poèmes jamais publiés, ni même mentionnés jusqu'ici, ou publiés dans des conditions telles qu'il était impossible de mettre la main dessus. Parmi ceux-ci, notons en particulier The Complaint of Mîm the Dwarf (p. 1304-1309), dont seule une traduction allemande avait jamais été publiée, et ce dans un volume anniversaire de l'éditeur Klett-Cotta, qui est désormais difficile à trouver. Je pourrais citer beaucoup d'autres poèmes que j'ai hâte de lire, tant sur le Légendaire qu'en-dehors, aussi bien tragiques que comiques. Je pense que ce coffret va devenir mon volume de chevet pour pas mal de temps.
Une déception tout de même, en ce qui me concerne : très peu de poèmes en langues elfiques, et encore moins d'inédits. En fait, il n'y en a qu'un : le poème en quenya de sept lignes, introuvable jusqu'ici, qui avait été récité par Tolkien en 1958 lors de sa visite aux Pays-Bas. Hammond et Scull nous en présentent trois versions successives (p. 1296-1298). Malheureusement, il n'en va pas de même pour les poèmes elfiques déjà publiés : pour Narqelion, les variantes publiées dans A Secret Vice: Tolkien on Invented Languages ne sont pas réimprimées, pour A Elbereth et Namárië, dont on sait qu'il existe de nombreux brouillons, seuls ceux déjà édités par Christopher Tolkien sont imprimés. C'est dommage.
E.
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En fait, il n'y en a qu'un : le poème en quenya de sept lignes, introuvable jusqu'ici, qui avait été récité par Tolkien en 1958 lors de sa visite aux Pays-Bas. Hammond et Scull nous en présentent trois versions successives (p. 1296-1298).
Et d’ailleurs, on trouvera une première analyse ici :
https://forum.tolkiendil.com/thread-10659.html
I.
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Les Collected Poems sont sortis. Quelqu'un a-t-il craqué et peut nous dire la beauté de la chose (forme/fonds) ?
Sur la page du groupe de la Tolkien Society, chez Mark Z., il a été signalé ces jours-ci un problème d'impression pour ces volumes, en montrant en photo l'encre du texte plus légèrement imprimée sur une page de droite par rapport à une page de gauche : peut-être ne s'agit-il toutefois que d'un problème ponctuel et non général sur tout le tirage de l'édition, mais on peut comprendre en tout cas que cela soit contrariant pour l'acquéreur qui le découvre, compte tenu du prix demandé pour l'achat de ladite édition.
Me concernant, j'ai pu avoir une ristourne en commandant chez Jeff B. par hasard un vendredi 13, mais ça reste élevé, a fortiori quand on est de moins en moins sujet à la « collectionnite » (je ne l'ai jamais beaucoup été, à vrai dire, car cela reste un luxe et que ce sont souvent plutôt les recherches et des centres d'intérêt précis qui motivent mes acquisitions) : comme pour la nouvelle édition des Letters parue l'année dernière, je me suis donc néanmoins décidé à passer une commande récemment, pour le fond plus que pour la forme, afin de ne rien laisser au hasard, en matière de sources, par rapport au « petit » projet dont j'ai parlé ailleurs en début d'année... Et du reste, ce sera l'occasion de vérifier accessoirement ce qui se cache derrière des titres de poèmes tels que “The Sirens Feast - The Sirens”, ou “No Longer Fear Champagne” (???)...
Mon exemplaire devrait me parvenir dans quelques jours.
Amicalement,
B.
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Et de fait, quelques jours plus tard...
J'ai pu recevoir mon colis hier, mardi soir. Mon témoignage rejoindra dans l'ensemble celui d'Elendil.
Sur la forme : le coffret constitue un bel objet, avec un bon emboitage pour les trois volumes. Concernant plus précisément ces derniers, ils sont de bonne facture : bonnes reliures avec coiffes et chasses, tranchefile jaune et bleu, signet tissé bleu toujours pratique pour chaque volume, papier de qualité, et aucun problème majeur en matière d'impression des textes.
Sur le fond : le contenu est effectivement très riche, avec de nombreux poèmes en divers états, connus ou inédits, variablement esquissés ou achevés, le tout commenté par Hammond et Scull, dans le sillage de leurs publications précédentes, de façon utile et parfois inattendue (je ne savais pas qu'ils avaient un avis sur l'aversion de Tolkien pour la langue française et sur le fait que ladite aversion, selon eux, n'a nullement empêché l'écrivain de manger de la cuisine française, ni de boire des vins français !). La structure principalement chronologique des volumes est logique, mais parfois un peu déroutante pour le chercheur, car Hammond et Scull peuvent regrouper dans un même chapitre (ou une même entrée) des poèmes rédigés à des périodes très éloignées mais unis par une filiation créative commune plus ou moins directe (par exemple concernant les poèmes liés à Tom Bombadil et Goldberry) : à cette aune, la présence d'un index est donc d'autant plus bienvenue pour s'y retrouver, lorsque l'on cherche une référence ou un sujet précis.
Bref, l'investissement vaut sans doute le coup, pour celles et ceux qui s'intéressent au sujet.
Par contre, mon exemplaire de ces Collected Poems va devoir rester rangé quelque temps, entre deux lectures, dans sa boîte en carton utilisée pour la livraison, car je n'ai pas encore d'endroit précis où installer le coffret, au milieu des dizaines et dizaines de livres que je n'ai pas encore réussi, même plusieurs mois après, à ranger définitivement suite à mon déménagement... Ceci dit, en tout cas, quand il s'agit d'ouvrir la boîte, mon Cthulhu de compagnie se prête volontiers au jeu...
Peace and Love,
B.
[EDIT (26/09/2027, minuit passé) : ajout d'une photo pour illustrer le propos... et puis vite, au dodo !]
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Sinon, j'ai le plaisir de pouvoir vous annoncer que dans un mois, le 17 octobre, notre nouvel ouvrage paraîtra aux éditions Hors Collection : L'Encyclopédie de la Terre du Milieu : Númenor et le Deuxième Âge, co-écrit par Druss, Isengar, Zelphalya, Calarwen, Foradan et moi-même, et illustré par Sandrine Gestin, Amandine Labarre et David Greset.
Comme l'info se diffuse sur les "rézosocios", je peux vous annoncer que je présenterai l'EdTM ( ) le samedi 12 octobre prochain, au Cultura de Plaisir (78), de 14h à 19h.
Je n'ai jamais fait ce genre d'exercice (c'est à dire proposer des dédicaces tout seul dans ce genre d'espace, indépendamment d'une conférence ou d'une présence à un festival...), on verra bien ce que ça donnera.
I.
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Merci beaucoup pour vos retours sur la forme et le fond de ces Collected Poems récemment publiés. Nul doute que la tendance de mon budget "bouquins" ne va pas à la baisse avec toutes ces belles sorties en librairie pour le trimestre.
Les poèmes ne sont pas forcément ce qui m'attire le plus dans l'oeuvre mais ils participent évidemment à ce Tout que nous aimons.
Et bravo Isengar pour cette séance de signatures, j'espère que tu auras des crampes dans la main à force de rédiger des dédicaces
C.
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Elendil a écrit :En fait, il n'y en a qu'un : le poème en quenya de sept lignes, introuvable jusqu'ici, qui avait été récité par Tolkien en 1958 lors de sa visite aux Pays-Bas. Hammond et Scull nous en présentent trois versions successives (p. 1296-1298).
Et d’ailleurs, on trouvera une première analyse ici :
https://forum.tolkiendil.com/thread-10659.html
Je me permets de signaler à ce propos que j'ai achevé l'analyse préliminaire des trois versions de ce poème.
E.
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Sinon, j'ai le plaisir de pouvoir vous annoncer que dans un mois, le 17 octobre, notre nouvel ouvrage paraîtra aux éditions Hors Collection : L'Encyclopédie de la Terre du Milieu : Númenor et le Deuxième Âge, co-écrit par Druss, Isengar, Zelphalya, Calarwen, Foradan et moi-même, et illustré par Sandrine Gestin, Amandine Labarre et David Greset.
Cette fois, c'est moi qui donnerait une séance de dédicaces à la librairie (indépendante) Le Grenier d'Abondance, à Salon-de-Provence, demain 17 octobre à partir de 18h. Voir annonce sur FB ou sur leur site.
E.
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Cool !
Je te souhaite plein de dédicaces et de chouettes rencontres
I.
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ISENGAR a écrit :Elendil a écrit :En fait, il n'y en a qu'un : le poème en quenya de sept lignes, introuvable jusqu'ici, qui avait été récité par Tolkien en 1958 lors de sa visite aux Pays-Bas. Hammond et Scull nous en présentent trois versions successives (p. 1296-1298).
Et d’ailleurs, on trouvera une première analyse ici :
https://forum.tolkiendil.com/thread-10659.htmlJe me permets de signaler à ce propos que j'ai achevé l'analyse préliminaire des trois versions de ce poème.
E.
Un immense merci Damien !
Ce poème est précieux, il résume bien je trouve la compréhension poétique, philosophique et spirituelle de la Modernité et de ses suites par Tolkien.
Tolkien déclarant, à l'occasion de la déclamation de ce poème en 1958 :
I look East, West, North, South, and I do not see Sauron ; but I see that Saruman has many descendants
Carpenter, VI.3, p. 300-301 ; Tolkien, A Celebration, p.37
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Bravo Damien :)
Tu nous feras un retour (si tu as le temps)
Jérôme
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Je signale ici, pour ceux qui ne le savent pas encore, que le Guide Tolkien de Yannick Chazareng, vient d'être réédité, corrigé, augmenté sous le timbre des Editions Actusf (collection Hélios).
La couverture est plus agréable que la première édition, et Yannick a pris soin de corriger les coquilles et les erreurs présentes dans la V1.
Nos amis de Tolkiendil en partenariat avec ActuSF organisent des petites choses ce week-end autour de cette chouette réédition.
Voir par ici
I.
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Encore un dessin en couverture d'un nouveau livre sur Tolkien
Il s'agit de la sortie de l'ouvrage de Jean : Le Dieu de Tolkien (éditions Première partie).
Sortie prévue le 13 mars prochain.
La page d'actualités de JRRVF a été mise à jour pour l'occasion.
Si Jean souhaite nous en dire un peu plus sur son livre dans le forum, il sait qu'il est ici dans sa maison
I.
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Merci JR :)
Merci par avance Jean je ne doute pas que ce sera passionnant
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Contacté par la maison d'édition, je vous informe (même si certains d'entre vous sont probablement sont déjà au courant) de la sortie prochaine, le 22 août, de Tolkien et la mémoire de l'Antiquité.
Toutes les informations sont sur la page officielle (reproduites en partie sur la page d'Actualités - https://www.jrrvf.com/tolkien-et-la-mem … ntiquite/) :
https://www.jrrvf.com/tolkien-et-la-mem … antiquite/
Vu les autrices, on peut s'attendre à du bon !
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Très prometteur en effet !
Merci Cédric :)
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Bonjour à tous,
À noter la nouvelle traduction française en prose de Beowulf, faite par Wilfrid Rotgé, publiée par SUP (Sorbonne Université Presses)
Notre ami Leo Carruthers en a rédigé la préface, une introduction littéraire et historique de 27 pages au cours de laquelle il ne manque pas de souligner l'intérêt de Tolkien pour le poème.
Le livre renferme également une postface par Florence Bourgne, qui évoque les retombées de Beowulf dans la culture moderne.
Pour ceux qui ne sont pas loin, notez la conférence de présentation le 10 septembre prochain.
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Merci ! Ajouté à ma liste de rentrée
Pour ceux qui ne sont pas loin, notez la conférence de présentation le 10 septembre prochain.
Pinaise ! Ce mercredi-là, je serai coincé à une 'journée de cohésion manageriale" qui est prévue jusqu'à 17h...
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La préface de Leo constitue une excellente introduction au poème et la postface de Florence Bourgne est une fort bonne synthèse sur l'importance de Beowulf aujourd'hui, dans laquelle j'ai appris pas mal de choses intéressantes. Les tableaux généalogiques et le lexique des noms propres sont très appréciables aussi.
Par contre, même si la traduction est fluide, je dois dire qu'elle m'a rebuté à plusieurs endroits par l'usage d'un vocabulaire franchement moderne et par des tournures trop familières. Je ne prône pas l'usage d'un vocabulaire entièrement archaïque, comme celui de la traduction de Tolkien (dont l'objectif était avant tout de servir d'aide à la lecture de l'original), mais il me semble qu'il conviendrait de se tenir à des tournures d'emploi historique et de garder à l'esprit que le style de l'original était déjà littéraire et poétique lorsqu'il fut composé, et que le poids des ans devait déjà être perceptible lorsque fut copié le manuscrit qui constitue notre seule source sur ce récit. Je reste donc, pour ma part, sur les traductions d'André Crépin, dont la dernière, publiée dans la collection « Lettres gothiques » du Livre de Poche, possède de plus l'avantage de faire figurer en regard le texte original. Pour mémoire, Leo en avait fait une brève recension lors de sa parution en 2007 : je n'ai rien à y rajouter.
Sinon, en anglais, il y a la traduction de Seamus Heaney que je recommande chaudement.
E.
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L'idéal serait que Bertrand finisse la sienne ...
& Merci Damien pour ces précisions.
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Jamais lu la moindre ligne de celle de Bertrand ; j'avoue que je serais curieux. N'empêche, pour concurrencer Crépin, faut se lever tôt, et Beowulf est un gros morceau.
Pour l'heure, je pense que je vais poursuivre un peu en lisant Eaters of the Dead, de Michael Crichton (j'ai vu le film Le Treizième Guerrier il y a longtemps, et il m'avait bien plu, mais je n'ai jamais lu l'original ; il va de soi que ledit texte est mentionné en bonne place par Bourgne) : au moins, je suis sûr que le style sera adapté à la période historique.
E.
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Jamais lu la moindre ligne de celle de Bertrand ; j'avoue que je serais curieux. N'empêche, pour concurrencer Crépin, faut se lever tôt, et Beowulf est un gros morceau.
Bertrand peut se lever très tôt :).
De mémoire, celle de Crépin n'était pas (pleinement) satisfaisante et c'est pourquoi Bertrand s'est lancé. Mais c'est long ...
Pour l'heure, je pense que je vais poursuivre un peu en lisant Eaters of the Dead, de Michael Crichton (j'ai vu le film Le Treizième Guerrier il y a longtemps, et il m'avait bien plu, mais je n'ai jamais lu l'original ; il va de soi que ledit texte est mentionné en bonne place par Bourgne) : au moins, je suis sûr que le style sera adapté à la période historique. ;)
Je suis bien d'accord (par avance) pour le style.
De mon côté je me procurerai le livre avant tout pour son édition (préface et postface).
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Je reste donc, pour ma part, sur les traductions d'André Crépin, dont la dernière, publiée dans la collection « Lettres gothiques » du Livre de Poche, possède de plus l'avantage de faire figurer en regard le texte original.
Je me souviens que l'on avait parlé, en ces lieux, de la parution de cette dernière traduction de Crépin, même si ça date un peu : c'était en novembre 2007, et je l'avais alors notamment évoquée dans un autre fuseau, consacré à l'adaptation cinématographique de Beowulf par Robert Zemeckis, tout juste sortie en salles à l'époque.
Pour l'heure, je pense que je vais poursuivre un peu en lisant Eaters of the Dead, de Michael Crichton (j'ai vu le film Le Treizième Guerrier il y a longtemps, et il m'avait bien plu, mais je n'ai jamais lu l'original ; il va de soi que ledit texte est mentionné en bonne place par Bourgne) : au moins, je suis sûr que le style sera adapté à la période historique. ;)
C'est une lecture qui remonte à loin, me concernant : paru en français d'abord sous le titre Les Mangeurs de Mort en 1982, ce roman de Michael Crichton fut un temps réédité sous le titre Le 13e guerrier, avec l'affiche du film de McTiernan en couverture (chez Pocket) et c'est dans cette réédition de 1999 que je l'avais lu (traduction de l'anglais américain par Lisa Rosenbaum). Le film, que j'avais vu d'abord, est très bon, et avec le recul je crois que l'on a probablement un peu exagéré en extrapolant sur une version initiale du montage, plus longue et supposée plus riche, mais qui n'a peut-être finalement jamais existée...
Pour ce qui est du style du roman... eh bien, disons que c'est du Crichton, donc abordable et plutôt efficace. L'auteur, qui aimait jouer avec la science à travers sa fiction, s'est livré là à une sorte d'exercice de style pour écrire « ce roman sous forme de monographie érudite », avec des notes de bas de page (dont au moins une mentionnant William Morris) et des références bibliographiques pour donner une image de crédibilité universitaire, mais au point que Crichton lui-même a pu finir, avec le temps, par ne plus bien distinguer la part de réel et sa part d'invention, comme il le raconte dans une note en postface de 1992, le roman datant de 1976. C'est un exercice créatif que d'autres, bien sûr, ont pratiqué depuis, dans un contexte de rapport contemporain aux faits et à la fiction qui n'a pas cessé d'évoluer, et qui interpellait déjà Crichton... Toujours est-il que ce dernier conclut ainsi sa note : « Lors de la première publication des Mangeurs de Morts, cette version fantaisiste de Beowulf fut fraîchement accueillie par la critique, comme si j'avais profané un monument sacré. Mais les érudits spécialistes de Beowulf ont semblé prendre plaisir à sa lecture, et beaucoup ont pris la plume pour le dire. »
Amicalement,
B.
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